Les déficits et les dérapages successifs de la Sécurité Sociale depuis de nombreuses années ont un impact non négligeable sur les niveaux de remboursements de soins.
Certains postes ne sont plus remboursés ou bien, comme c’est le cas depuis peu, la prise en charge de la part de la Sécurité Sociale a diminué en ce qui concerne les remboursements de certains postes. C’est le cas aujourd’hui, entre autres, du poste dentaire ou encore des dépassements d’honoraires de certains médecins spécialistes.
La prise en charge des prestations en nature de la sécurité sociale, qui pourtant tient à cœur à bon nombre de Français, est finalement mal connue et surtout très souvent mal comprise, voire ignorée.
Les assurés sociaux ont du mal à savoir à quoi correspond le ticket modérateur, un médecin en secteur 1, secteur 2 ou secteur 3.
La plupart des assurés sociaux ignorent ce qu’est un médecin signataire d’un dispositif tarifaire maîtrisé, les conséquences en termes de remboursements pour ceux qui ne le sont pas, le niveau de prise en charge effective de la part de la sécurité sociale selon que l’on effectue une visite chez un médecin généraliste, un spécialiste ; dans le cadre hospitalier, dans un hôpital public ou dans une clinique privée, la classification des actes médicaux et leur impact en termes de valeur en Euros.
L’avènement du « contrat 100 % santé » est venu brouiller encore un peu plus l’information en direction des assurés et les conséquences financières qui en découlent. Les limites et les bienfaits de la résiliation infra-annuelle ne sont pas vraiment encore connus, mais ils ont déjà un impact sur le niveau des cotisations des assurés. C’est pourquoi GIECC SARL a développé une véritable expertise pédagogique à destination de ses clients.
Un contrat de mutuelle santé a aujourd’hui toute son importance, encore faut-il savoir quels sont réellement les postes qui peuvent exposer un assuré. Nous nous efforçons d’expliquer au mieux le mécanisme des remboursements de soins, les limites de remboursements et les impacts en termes de « restent à charge ».